En première partie de récit, Marguerite dit bonjour aux éléments nécessaires à sa survie. Elle salue : le soleil pour son besoin de lumière, l'abeille pour sa pollinisation, le nuage qui fabrique la pluie pour son besoin d'eau ainsi que le vent qui permettra à ses graines d'être dispersées.

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En deuxième partie, survient l'élément déclencheur. Les illustrations deviennent sombres et le texte est en contraste. Marguerite éprouve la frayeur du noir. L'obscurité étant souvent l'une des premières peurs vécues par les tout-petits, l'enfant peut donc ressentir de l'empathie pour le personnage. Les mots «J'ai peur!» sont en jaune. Cette couleur est exactement la même que le centre de la fleur, le pistil, son coeur (symbolique : un cri du coeur).

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En dernière partie, Marguerite est secourue. Les humains sont anonymes (sans visages) afin que les lecteurs puissent s'identifier. L'humain de gauche propose subtilement une solution par la couleur de son habillement : Les déchets doivent être jetés à la poubelle (bac noir = pantalon noir) ou mis à la récupération (bac vert = chandail vert).

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À la fin, Marguerite dit bonjour aux humains. Par cette action, elle reconnaît que pour survivre, elle a également besoin de l'action bienveillante des gens ainsi que de leur respect de l'environnement.

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Au dos de la couverture, on constate que Marguerite est seule sur sa colline. Par cette solitude, je voulais démontrer que sa survie est précieuse et que chaque petit geste compte.